Cette faible viabilité des merles est, en partie, liée à l’ordre auquel ils appartiennent, à savoir celui des passereaux. En effet, les passereaux étant de petits oiseaux, ils sont particulièrement fragiles face aux chocs et aux maladies par rapport à des oiseaux plus grands.
Malgré ce constat, le centre de soins reste un élément important pour secourir les merles noirs. En effet, sur l’ensemble des merles arrivant au centre soins, un merle sur cinq est sauvé, c’est-à-dire relâché. De plus, si l’on ne prend en compte que les merles noirs potentiellement viables (36,63 %), le taux de relâchés est alors de 54,76 %.