Plus de 200 personnes donnent de leur temps chaque année pour aider Volée de Piafs. Nous leur donnons la parole sur cette page. Voici le témoignage des bénévoles, des salariés et des volontaires en service civique œuvrant pour le centre de soins et son association.
Bénévoles en soins
William, bénévole régulier

- Comment as-tu fait connaissance avec l’association ?
J’étais pompier professionnel et j’amenais régulièrement des oiseaux en détresse au centre de soins.
- Qu’est-ce qui t’a motivé à t’investir ?
J’ai décidé, quand j’ai pris ma retraite fin 2017, d’offrir une journée par semaine à l’association. Je le fais depuis mars 2018.
- Est-ce que tu peux dire un mot sur toi-même et tes activités en dehors de l’association ?
Je vais avoir 60 ans, je suis assez sportif et je suis également membre d’une autre association qui s’appelle MESMAT (Musée de l’Escadrille des Sous-Marins de l’Atlantique). Avant d’être pompier professionnel, j’ai été 16 ans dans l’Armée, dont une grande partie dans les sous-marins. Avec d’autres anciens sous-mariniers, nous restaurons et entretenons le sous-marin « Flore » qui est ouvert au public pour des visites sur la base sous-marine de Lorient.
Durant ma carrière chez les pompiers j’ai collaboré avec le zoo de Pont Scorff, car je faisais partie des équipes d’intervention « risques animaliers » où j’avais l’habilitation d’utiliser le fusil hypodermique.
- Quelles-sont les activités que tu prends en charge comme bénévole ?
A peu près tout : entretien des installations, nettoyage, nourrissage. Tout sauf le bureau (j’évite).
- Quel-est l’événement ou l’expérience dans la vie de l’association qui t’a le plus marqué ?
J’en ai tellement vu pendant mes activités de pompier… Une vache dans une piscine, des chats coincés dans les arbres, des chevaux tombés dans un étang, et ce ne sont que quelques exemples… Au centre, rien ne m’a spécialement marqué.
Isabelle, administratrice au CA
- Comment-as tu fait connaissance avec l’association ?
L’année passée, via une amie qui a amené des animaux au centre. Je suis devenue adhérente et j’ai commencé comme bénévole début février 2020.
- Qu’est ce qui t’a motivée à t’investir ?
Depuis toujours je suis passionnée par la nature, les animaux et l’environnement. J’en ai fait mon métier, je suis ingénieur environnement sécurité. J’accompagne et conseille des entreprises, afin d’intégrer la protection et la préservation de l’environnement dans toutes ses dimensions, ainsi que la sécurité des personnes, dans leur fonctionnement quotidien.
Hors activité professionnelle, je participe au sein d’ONG, d’associations environnementales et de protection des animaux, à des missions de sensibilisation et des actions de terrain (informations, nettoyages de plages, zéro déchet, etc…). L’idée de partager et faire bénéficier mes compétences et expériences au profit d’une association comme VDP était logique pour moi. Je souhaitais également m’investir plus concrètement pour la faune sauvage, sur le terrain et au contact des animaux.
- Quelles-sont les activités que tu prends en charge comme bénévole ?
Au début, j’ai démarré par les activités de nettoyage et de nourrissage dans les volières. J’ai été en binôme avec un bénévole régulier qui a pris le temps de me montrer les bons gestes. Et puis petit à petit, avec l’accompagnement bienveillant des soigneurs et des services civiques, le nourrissage des petits passereaux, toutes les tâches dans les cabanons de soins (nettoyage, montage / démontage, pesage, etc…). C’est très varié et passionnant.
En parallèle, en lisant l’annonce sur les réseaux sociaux, j’ai fait acte de candidature pour devenir membre du Conseil d’Administration. Lors de l’Assemblée Générale du 22 février dernier, non seulement j’ai été élue administratrice avec 10 autres membres administrateurs, mais en plus j’ai accepté le rôle de secrétaire du CA, le jour de ma fête !

04/06/2020
Stéphanie, bénévole régulière

20/03/2020
- Quelles sont les activités que tu prends en charge comme bénévole à Volée de Piafs ?
Depuis, je suis assez polyvalente, je continue le nettoyage, la vaisselle, le rangement, la décongélation, mais je peux aussi aider au gavage des pigeonneaux, et quand tout cela est à jour, je peux assister aux examens d’entrée.
- Quelle est l’événement ou l’expérience dans la vie de l’association qui t’a le plus marqué ?
- Comment décris-tu l’atmosphère du centre en général ?
- Connais-tu d’autres bénévoles ?
- Que conseilles-tu à un.e nouveau/nouvelle bénévole qui rejoint le centre ?
- Que proposes-tu pour améliorer la vie au quotidien de l’association, en particulier ce qui concerne le rôle des bénévoles ?
- Comment as-tu fait connaissance avec l’association ?
C’était en 2016 lorsque des articles de journaux ont relayé les difficultés financières du centre.
En 2018, j’ai trouvé un jeune hérisson errant dans mon jardin en plein jour début juillet. J’ai cherché des infos sur internet et j’ai appelé mon vétérinaire qui m’a tout de suite dirigée vers le centre. C’est en apportant ce petit hérisson que j’ai vu l’affiche faisant appel aux bénévoles. Je me suis lancée au mois d’août 2018 et depuis je n’ai pas arrêté.
- Qu’est-ce qui t’a motivée à t’investir ?
Ma conscience de la situation actuelle qui est malheureusement catastrophique pour la faune sauvage. J’étais contente de trouver une action concrète qui ne demande pas de connaissances spécifiques au départ et qui est différente d’un don d’argent même si ceux-ci sont nécessaires. Dans ma situation, je peux donner bien plus de temps que d’argent alors ça tombe bien.
- Toi et tes activités en dehors de l’association
Ma situation est un peu particulière, je suis en invalidité suite à un épuisement professionnel et une dépression sévère. J’en ai gardé des séquelles physiques et psychologiques. Ma capacité de travail est à peine de 6/7 heures par semaine mais en donnant ce temps-là au centre, je me sens utile et c’est essentiel pour garder le moral. Je viens donc une seule demi-journée par semaine.
En dehors de Volée de Piafs, je suis bénévole dans d’autres associations : Bretagne Vivante Ornithologie pour qui je participe à des comptages d’oiseaux de façon plutôt mensuelle. Secrets d’Animaux, une association de médiation animale au Bono, j’aide à l’aménagement de leur terrain et j’interviens pour des initiations aux chants d’oiseaux. Là aussi c’est très ponctuel, et plutôt saisonnier.
Pascal, bénévole longue durée
- Comment as-tu fait connaissance avec l’association ?
C’était il y a 2 ans, car un ami, Simon, qui est désormais membre du conseil d’administration m’en a parlé.
- Qu’est-ce qui t’a motivé à t’investir ?
Je me suis toujours intéressé aux animaux et donner mon temps en tant que bénévole est un moyen de les protéger.
- Toi et tes activités en dehors de l’association
D’abord je suis végétarien depuis 25 ans et vegan depuis 20 ans. Je suis très actif sur le sujet de l’environnement, et je parle beaucoup autour de moi pour informer ceux et celles qui sont ouverts à ça. Je participe aussi à certaines manifestations liées à l’environnement.
- Quelles sont les activités que tu prends en charge en tant que bénévole ?
Je me suis « spécialisé » dans le lavage du matériel. Le karcher est devenu mon outil préféré !
- A quelle fréquence viens-tu au centre ?
Depuis 2 ans, je viens 4 demi-journée par semaine et plus récemment je suis au centre de soins depuis le 22 février, tous les jours. A l’annonce du confinement obligatoire, j’ai décidé de rester sur place pour aider l’équipe jusqu’à la fin de la crise.
- Quelle est l’expérience qui t’a le plus marqué au centre de soins ?
C’est celle des hérissons. Pendant quelques semaines je m’en occupais plusieurs fois par jours et je me sentais quasiment confiné avec eux !

27/03/2020
Bénévoles administratifs
Céline, responsable bénévole

- Comment et quand as-tu pris connaissance de l’association ?
Céline : J’ai connu l’association par la publication Facebook d’un ami, qui annonçait que le que centre recherchait de l’aide. C’était en février, lors des nombreux épisodes de tempêtes de 2014. Beaucoup d’oiseaux marins étaient en soins, en hypothermie, mazoutés… Ma première venue au centre était très intense.
- Qu’est-ce qui t’a motivée à t’investir ?
Céline : J’ai, depuis toute petite, une sensibilité pour la vie animale, je m’intéresse beaucoup à tout ce qui touche à la biodiversité, l’environnement, et j’avais vraiment envie de m’investir dans une démarche active pour aider cette biodiversité qui est si malmenée.
- Pourrais-tu dire un mot sur toi et tes activités en dehors de l’association ?
Céline : Je travaille dans un domaine en lien avec l’environnement, l’agriculture. Mais je fais également partie d’une autre association, celle-ci en lien avec l’humanitaire, SOS Méditerranée, ayant une action de sauvetage en mer. Je fais partie de l’antenne de Rennes, où notre action, elle, se passe à terre, et est de faire de la sensibilisation sur ce qui ce passe en Méditerranée, notamment auprès des scolaires. Et plus globalement, j’adore découvrir plein de choses liées à la nature, la permaculture… au travers de sorties, conférences, chantiers participatifs, dès que mon emploi du temps me le permet.
- Quel est ton rôle vis-à-vis des bénévoles ?
Céline : Je prends en compte les demandes de bénévolat envoyées par mail puis je renseigne les gens du mieux que je peux. Parfois en direct, mais le plus souvent par mail ou par téléphone, en tout cas pour ceux qui ne trouvent pas réponse dans la FAQ que nous avons rédigée à destination des futurs bénévoles. Je sers de relais entre le bénévole et l’équipe de l’association, auprès de qui je peux faire remonter les informations communiquées par les bénévoles. Nous savons que cela n’est pas facile de débarquer dans une telle structure avec une activité aussi intense, il faut l’accepter quand on est bénévole à Volée de Piafs – Trisk’ailes et revenir pour s’y sentir de plus en plus à l’aise et indépendant ! Très bientôt, nous allons envoyer aux bénévoles une enquête de satisfaction anonyme, on espère bien avoir un maximum de retours pour améliorer encore ce volet.
- Quelles sont les activités/tâches confiées aux bénévoles généralement ?
Céline : La plupart des activités confiées aux bénévoles sont liées au nettoyage du matériels (cages, aquilux, gamelles…). C’est une tâche vraiment très importante pour assurer un accueil optimum de l’ensemble des animaux en soin et en réhabilitation.
Il y a également, avec l’accompagnement d’un.e bénévole confirmé.e, salarié.e ou un.e volontaire en Service Civique, le nourrissage et l’entretien des volières, cabanons. Certaines bénévoles aident à l’entretien du site, participent à des chantiers comme la fabrication de volières.
Des tâches administratives sont également attribuées (enregistrement de données d’accueil d’animaux…).
Et nous avons la participation de bénévoles sur des stands, événements et autres actions ponctuelles.
Il faut juste savoir que toute personne majeure et volontaire peut devenir bénévole à Volée de piafs – Trisk’ailes, il y en a pour tous les goûts !
Plus d’infos ici.
- Comment décrirais-tu le groupe de bénévoles investis au centre aujourd’hui ?
- Que conseille-tu à un.e nouveau/nouvelle bénévole qui rejoint l'association?
- Quel est l’événement ou l’expérience dans la vie de l’association qui t'a le plus marqué ?
- Quels sont tes projets et initiatives pour cette nouvelle année ?
- Idéalement que souhaiterais-tu voir se réaliser pour Volée de Piafs en 2020 ?
Autres personnes engagées
Charly, ex-responsable des infrastructures

Je m’appelle Charly et je viens de Locoal-Mendon, donc pas très loin. J’ai travaillé dans le paysage et ensuite j’ai suivi une reconversion dans l’électricité pour continuer mon parcours dans la construction des bâtiments immeubles sans grand enthousiasme.
J’ai repéré l’annonce de Volée de Piafs mi-décembre dernier et je me suis dit pourquoi pas, je tente !
J’ai concrètement commencé le 6 janvier, et mon rôle consiste à être l’homme à tout faire en termes de maintien et création des installations à l’intérieur et à l’extérieur. Ma priorité est de préparer le matériel pour l’exposition au Salon Natur’Armor à Lamballe qui a lieu à la fin du mois de janvier. Nous allons présenter nos caisses de nourrissage pour hérisson et nos protections tue-mouches pour oiseaux et chauves-souris.
Mes premières impressions ? Très bonnes, je me sens bien dans le domaine associatif, qui correspond beaucoup mieux à mes principes, c’est motivant.
Les nouveaux chantiers pour l’année 2020 ? On a déjà trois projets importants planifiés (et surement d’autres suivront) :
- Poursuite des nouvelles volières à passereaux. A noter est que nous allons être aidés par les élèves du lycée Anne de Bretagne de Locminé, ce qui est une bonne nouvelle !
- Un deuxième cabanon à hérissons, pour lequel l’aide de bénévoles intéressés, et avec un peu d’expérience, est la bienvenue aussi !
- La volière des colombidés (la toute première volière de Volée de Piafs) dont le sol est complètement à refaire afin de le rendre étanche aux rats
Donc en avant, pas le temps de s’ennuyer !
15/01/2020
Nicoline, rédactrice en chef de la Ga(r)zette
J’ai rencontré des représentants de l’association pour la première fois en septembre dernier au Super U à Plouharnel. J’ai reconnu Nicole Fontana, car nous avons le même vétérinaire. Elle m’a présenté le centre et j’ai pris une brochure (et donné du pain d’épices pour les écureuils). Comme l’été dernier, je suis rentrée avec mon mari après 12 ans d’expatriation en Italie (Parme) où j’ai travaillé comme DRH de l’Agence européenne en charge de la sécurité alimentaire (humaine et animaux), je cherchais une activité associative intéressante pour investir un peu de mon temps. Après que mon GPS a perdu tous ses repères, j’ai réussi à trouver le centre un beau matin en septembre. Le soigneur en charge m’a mis en binôme avec une bénévole expérimentée qui m’a tout de suite mise au travail en me donnant des explications claires tout le long de la matinée des soins et en attirant mon attention sur toutes les consignes affichées un peu partout, ça donnait à peu près ça :

Mais j’étais super contente de pouvoir immédiatement participer aux soins dehors et j’étais impressionnée par les différents oiseaux, les magnifiques chouettes nocturnes… Et finalement après 4/5 matinées, à raison d’une fois par semaine, je commençais déjà à assimiler une partie des détails. Ma conclusion : c’est important de venir régulièrement au centre !
Par ailleurs j’apprécie les rencontres avec les autres bénévoles, de discuter et d’échanger en faisant les soins ensemble. Donc en plus de mes contributions au bureau, je souhaite certainement continuer les soins pour devenir autonome sur ces tâches. Et en bonus, étant cavalière depuis très longtemps, cela me donnerait l’occasion d’apporter une carotte aux ânes Carambar et Fifille, je les adore !
Mes vœux pour 2020 ? Bon vent à Volée de Piafs ! (mais pas trop fort non plus)
06/02/2020

Amélie et Shirley : actrices du bureau
Vous êtes-vous déjà demandé qui sont ces gens qui travaillent sur leur ordinateur dans la pièce du fond, pendant que vous aidez les soigneurs ? Les acteurs du bureau composent la deuxième partie de l'équipe qui fait vivre le centre de soins et surtout l'association.
Nous avons interrogé ceux qui œuvrent dans le bureau pour vous expliquer leur rôle.
- Pourquoi avoir rejoint l’association ?
Amélie : Mes études se terminant, je souhaitais acquérir une expérience professionnalisante dans le domaine de la préservation de l’environnement et en région Bretagne. J’ai postulé à la mission de Service Civique Ambassadrice de la faune sauvage et de la biodiversité ouverte par Volée de Piafs, et je me suis lancée à fond dans cette aventure toute nouvelle, en pleine campagne et au contact de gens passionnés.
Shirley : J’ai toujours rêvé de travailler auprès des animaux et quand j’ai vu l’annonce du service civique, j’ai sauté sur l’occasion. J’étais perdue entre mes études et mes premiers jobs qui ne me plaisaient pas, donc je suis sortie de mon contexte pour revenir à mon choix de départ. Volée de Piafs est une structure idéale, car elle accueille des animaux sauvages, ce qui est un cadre assez “rare” et correspond à mes attentes de toujours.
- Un mot sur votre parcours antérieur à Volée de Piafs
Shirley : J’ai débuté mes études par un Bac Service aux Personnes et aux Territoires et j’ai poursuivi avec un BTS dans le service et la prestation des secteurs sanitaire et social qui ne m’a pas satisfaite du tout, car étant finalement trop administratif pour moi. C’est pour cela que je recherchais des études ou une expérience professionnelle qui me permettrait de me rapprocher de mon coup de cœur pour la défense des animaux et de l’environnement.
Amélie : Après des études en classe préparatoire littéraire et une licence de géographie, j’ai obtenu un master en gestion de l’environnement tout en effectuant des stages à la limite entre la gestion de l’environnement, la sociologie et l’écologie. Je me suis découvert une virulente envie d’œuvrer en faveur de la biodiversité. Mon parcours m’a délogée de la Seine-et-Marne pour me mener en Bretagne et j’avoue être totalement tombée sous le charme de cette région (où j’ai rencontré l’amour).
- Quel est le rôle général des acteurs du bureau et quels sont les objectifs pour cette année ?
L’objectif principal est de mettre l’association sur le devant de la scène territoriale (régionale et nationale) afin de la faire connaître et de la faire grandir. Mais les missions des acteurs du bureau sont nombreuses : trouver des financements publics et privés, établir des partenariats, sensibiliser tous les publics aux actions du centre de soins, mais aussi à la cause animale et à la préservation de la biodiversité, veiller au bon fonctionnement du centre, à la logistique, en collaboration avec l’équipe de soins et le Conseil d’Administration.
En 2020, l’action principale est la création et la mise en place de la campagne de sensibilisation “Le Bon geste” qui a cependant été mise à mal par l’épidémie de Covid-19.
- Comment les activités sont-elle réparties entre vous ?
Amélie : En tant que service civique Ambassadrice faune sauvage et biodiversité, je m’occupais des réseaux sociaux (publication, mise à jour et modération), je répondais aux demandes de nouvelles des découvreurs, je gérais la boîte mail principale, je préparais et réalisais les interventions extérieures dans des écoles et centres de loisirs, je participais aux manifestations publiques (conférences, festivals, et autres). Ma mission étant terminée, j’ai transmis le flambeau à Shirley !
Shirley : Ma mission de service civique est en partie celle d’Amélie : je gère la communication sur les réseaux sociaux et les demandes de nouvelles. Je suis aussi en charge de répondre aux appels sur la ligne d’urgence et de l’accueil des animaux. Tout ceci me prend l’ensemble de mon temps, car, en cette période estivale, nous avons beaucoup d’appels et d’accueils à gérer. Mais c’est aussi ce qui fait le charme de cette mission, c’est que chaque journée est différente.
- Quelles sont les priorités pour les semaines et mois à venir ?
Remettre progressivement en place les interventions que nous avions prévues auprès des scolaires et qui ont été reportées lors du confinement. Continuer d’assurer la communication auprès de nos adhérents et bénévoles afin de les rassurer sur la continuité du travail du centre. Et bien entendu, continuer à appuyer les soigneurs dans l’accueil des animaux.
12/06/2020